Une capsule vidéo (3’47) de France Culture à retrouver ici.
1. S’adapter : la rumeur s’adapte au milieu et à l’époque dans lesquelles elle est diffusée ;
2. Stigmatiser : souvent, un groupe minoritaire est désigné comme bouc émissaire. Valoriser négativement les « autres » implique une valorisation positive du « nous », ce qui renforce la cohésion sociale ;
3. Effrayer : la rumeur relate un évènement négatif, qui fait peur (agressions, accidents, échecs, dangers). Elle peut aussi donner une explication facile à un évènement exceptionnel et traumatique ;
4. Concerner : comme dans les rumeurs d’enlèvements d’enfant, une rumeur impliquant un danger pour des proches ou des êtres considérés comme vulnérables a d’autant plus de chances d’être propagée.
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