Extrait de l’article original sur le site Psychomédias :
Les croyances ne reposent pas toujours sur les faits, notamment parce qu’elles peuvent répondre à des motivations psychologiques (telles que maintenir une vision du monde, une identité ou une appartenance…), ont illustré plusieurs études. (…) Qu’arrive-t-il, lorsque les gens sont confrontés à des données qui contredisent leurs croyances. Dans une nouvelle étude, publiée dans le Journal of Personnality and Asocial Psychology, ces chercheurs et Justin Friesen de l’Université York proposent qu’ils seront plus susceptibles d’intégrer dans leur systèmes de croyances (par exemples, religieux ou politique) des aspects non vérifiables qui ne peuvent être testés et réfutés de manière empirique et concluante.
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