? Penser, n’est-ce pas être capable de dire à sa propre pensée, dans une sorte d’étonnement, sinon qu’elle se trompe, du moins qu’elle mérite d’être reprise, modifiée, réadaptée en certains points trop bien fixés? (…) L’esprit critique serait donc le moteur de la pensée même. Mais comment le définir? Par quoi le caractériser? Et surtout, comment l’enseigner, le faire vivre, voire le critiquer en vertu de lui-même?
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